Résumé :
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La 4e de couverture indique : "La première révolution industrielle qui apparaît vers 1770 en Angleterre met en avant un phénomène récurrent : une convergence entre une technologie nouvelle et une évolution des modes de production provoque une progression considérable de la productivité dans un secteur porteur qui bouleverse l’ensemble de l’économie et la distribution des richesses entre les nations. Ce mode de production est, à son tour, bouleversé par la IIe révolution industrielle (chimie, électricité et production de masse) qui voit le leadership de l’Angleterre supplanté par celui des Etats-Unis et l’apparition de la grande entreprise. Nous sommes entrés, vers 1975, dans un cycle technologique nouveau, celui de la IIIe révolution industrielle, basée sur les technologies de l’information, que nous appelons Iconomie. Ces cycles ont une régularité historiquement et statistiquement constatée de 50 à 60 ans, qui prend la forme d’une courbe en « S » dont le point d’inflexion est une crise : nous y sommes. En sortir suppose de formuler et de mettre en oeuvre les recettes du succès dans l’Iconomie, pour retrouver une dynamique de forte croissance comme nous l’avons connue à l’époque des Trente glorieuses. Cet ouvrage se propose de présenter de manière pédagogique la dynamique, les enjeux et les modes opératoires de la transition vers l’Iconomie. La première partie définit ce qu’est une révolution industrielle, les particularités de l’Iconomie et les changements qu’elle induit dans les modèles d’affaires des firmes. La deuxième partie présente plusieurs cas de nouveaux modèles d’affaires qui illustrent le caractère révolutionnaire de l’Iconomie. Enfin, la troisième partie présente les nouvelles disciplines et compétences à développer pour réussir dans l’Iconomie. Il intéressera non seulement les responsables des secteurs publics et privés concernés par les mutations liées à la transition vers l'Iconomie, mais aussi les étudiants de niveau master et doctorat en économie de l'innovation, économie du développement, management des systèmes complexes, management public, ainsi que les chercheurs."
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