Résumé :
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Les problèmes de doubles impositions, de discrimination fiscale entre nationaux et étrangers, et d'évasion et de fraude fiscale internationale, empêchent le développement des relations économiques internationales. Ce qui à inciter les Etats à rechercher les solutions à ces problèmes. Les Etats sont d'abord efforcés de réduire certains de ces problèmes par des mesures unilatérales. Mais les dispositions internes ont une efficacité limitées à raison de leur caractère unilatérale, par ce que chaque Etat agit de manière indépendantes et sans concentration avec les autres Etats. Les Etats se dirigent donc, vers la conclusion des conventions fiscales. Ces conventions sont aujourd'hui conclues par plusieurs Etats, y compris l'Algérie. Les entreprises étrangères implantées en Algérie, en l'absence des conventions, sont soumises aux régimes de droit commun en cas d'existence d'établissent stable, et au régime de la retenu à la source en cas de prestation de services. Par contre, après la conclusion des conventions, l'Algérie a établi un réseau conventionnel avec les différents Etat car ces dernières sont considérées comme des sources très importantes en droit fiscal et parmi les meilleurs moyens pour réaliser la coopération internationale en matière fiscale. L'objectif de notre recherche est de résoudre les problèmes de la fiscalité internationale tout en s'assurant que les conventions fiscales représentent la solution optimale à ces derniers vu que la finalité de ces conventions consiste à éviter la double imposition ainsi que protéger les finances publiques menacées par la fraude et l'évasion fiscale internationale
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