Résumé :
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La mondialisation a démontré qu'elle peut avoir des retombées positives sur les pays en développement, à l'image des Investissements Directs ةtrangers. Ces derniers engendrent des effets bénéfiques aux lieux d'implantation, en améliorant la performance économique du pays d'accueil, rétablissant son équilibre financier et augmentant sa compétitivité internationale. Cependant, malgré les progrès spectaculaires enregistrés, les visions capitalistes du développement ont mené vers des cycles économiques plus courts et des mutations plus nombreuses, plus rapides et plus complexes. Et ce, causant d'énormes inégalités socio- économiques et des conséquences écologiques sans précédent. Parallèlement, les plans de développement nationaux, centralisés et généralement fixés «de haut en bas», n'ont fait qu'aggraver les conséquences et plus particulièrement dans certaines régions. Cette vérité établie, il convient donc de souligner l'urgence d'une réflexion autour d'une nouvelle démarche socio-économique partant du bas vers le haut, basée sur la participation des acteurs locaux. Ceci, tout en réconciliant Global et Local afin de réussir l'harmonisation entre la recherche d'une viabilité économique, la réponse aux attentes sociales et le respect de l'environnement.
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