Résumé :
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L'intermédiation est l'activité principale des banques. En effet, en collectant des dépôts et en octroyant en contrepartie des prêts, les banques contribuent à l'optimum économique. Cependant, cette activité est génératrice de risques variés qui sont de plus en plus aigus à cause notamment de la concurrence accrue dans de nombreux secteurs et de l'ouverture croissante sur l'extérieur. Suite aux diverses mutations qu'a connu le monde économique et financier ces dernières années et qui ont fortement grevé l'activité bancaire, le risque de crédit s'est distingué des autres risques bancaires, et s'est imposé comme étant le centre de préoccupation de toute banque désireuse de rester compétitive. Une attention toute particulière doit être lui accordée et ce en raison des conséquences graves qu'il peut produire. C'est pour cette raison que le comité de Bâle, a proposé aux banques exerçant sur la scène internationale des divers outils de gestion du risque de crédit, à partir des approches et des méthodes tel que (l'approche standard « notation externe » la méthodes de rating « notation interne »...etc.). Mais ces méthodes ne trouvent pas encore son application dans tous les pays, de fait qu'ils sont des propositions donc ils ne sont pas obligés à appliquer.
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